Bon vent, mais surtout bonne collecte!

un article écrit par Chargé de Recherche Hors Classe, Institut de recherche pour le développement (IRD) pour The Conversation

Les océans couvrent environ les deux tiers de la surface de la Terre, les observer et comprendre leur fonctionnement représentent une tâche immense et complexe. Le besoin de collecte de données sur cet environnement si peu accessible est par conséquent récurrent, tant depuis les débuts de l’océanographie moderne qu’aujourd’hui afin de comprendre, en particulier, les évolutions du climat.

Le parcours des grands navigateurs que sont aujourd’hui les skippers des grandes courses maritimes, comme le Vendée Globe, offre une opportunité sans équivalent pour réaliser une collecte d’observation in situ (« sur le terrain ») de certains paramètres physiques de l’océan, comme la salinité ou bien encore de la pollution par les déchets et plastiques.

Grâce à ces deux exemples, nous reviendrons sur les opportunités d’observations dans des régions encore largement sous échantillonnées et trop rarement explorées par des navires.