
Françoise Gaill, la voix de l’océan
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Rien ne la prédestinait. Et pourtant !
Depuis son entrée au CNRS en 1973 au sein du laboratoire de biologie des invertébrés marins jusqu’à son départ en 2013, Françoise Gaill a consacré sa vie à explorer la vie marine dans les plus grandes profondeurs de l’océan. Biologiste marine de formation devenue spécialiste des écosystèmes abyssaux, elle a été l’une des pionnières dans l’exploration des environnements marins.
Elle se retrouve aujourd’hui sur la scène internationale grâce à la Plateforme Océan & Climat. Une organisation qu’elle a co-fondée et dont elle est la vice-présidente science depuis 2014, avec pour unique objectif la sauvegarde de l’océan.
Retrouvez le portrait d’une femme d’exception, scientifique de renom international et devenue la voix de l’océan.
Par Laure Cailloce pour le CNRS Journal.
Françoise Gaill, la voix de l’océan
Depuis son entrée au CNRS en 1973 au sein du laboratoire de biologie des invertébrés marins jusqu’à son départ en 2013, Françoise Gaill a consacré sa vie à explorer la vie marine dans les plus grandes profondeurs de l’océan. Biologiste marine de formation devenue spécialiste des écosystèmes abyssaux, elle a été l’une des pionnières dans l’exploration des environnements marins.
Nolwenn Lemaitre, Lauréate d’une bourse européenne
Depuis sa thèse obtenue entre la France et la Belgique en 2017, Nolwenn Lemaitre est post-doctorante en Suisse où elle travaille sur les isotopes stables des métaux traces (cuivre, nickel et zinc) dans l’eau de mer. Elle vient d’obtenir une bourse européenne pour évaluer l’importance des sédiments comme source de ces métaux traces dans l’océan.
Sophie Bonnet, Chercheur française lauréate d’une bourse de recherche européenne exceptionnelle
Sophie Bonnet est directrice de recherche à l’Institut méditerranéen d’océanologie (MIO Aix-Marseille Université, CNRS, IRD, Université de Toulon). Elle vient de remporter une bourse européenne exceptionnelle pour un projet de recherche innovant qui doit se pencher sur les mécanismes biologiques de séquestration du CO2 par l’océan, de l’étude de la cellule jusqu’à l’écosystème dans son ensemble.
La Mer Méditerranée à bout de souffle ?
En juin dernier, la 10ème campagne océanographique du réseau MOOSE a eu lieu en Mer Méditerranée. Depuis plus d’une décennie, le laboratoire LOCEAN, les stations marines de Roscoff, Banyuls, Villefranche-sur-mer de Sorbonne Université, le laboratoire du MIO et le CEFREM sont impliqués dans ce Mediterranean Ocean Observing System for the Environment financé par le CNRS-INSU et l’Infrastructure de Recherche ILICO. Un réseau intégré et multidisciplinaire unique chargé d’observer et comprendre, de manière pérenne, l’évolution d’un bassin méditerranéen en proie aux conséquences majeures du changement climatique et des activités humaines.
La pompe à carbone océanique
L’océan est un régulateur du climat, notamment parce qu’il capture chaque année ⅓ du dioxyde de carbone (CO2) émis dans l’atmosphère. Ce phénomène de “pompe à carbone océanique” est dû à un double processus : un processus physique et un processus biologique.
OneOceanScience : lutter contre le changement climatique grâce aux sciences océaniques
Le 25 octobre, l'Ifremer, le CNRS et l’IRD ont lancé un tour du monde digital des sciences océaniques et climatiques, baptisé OneOceanScience, avec le soutien Thomas Pesquet mais aussi de l’Agence spatiale européenne (ESA) et de la Plateforme Océan et Climat.
Une étude sur l’écosystème marin à l’embouchure de l’amazone
Une équipe pluridisciplinaire de 17 chercheur(e)s français(e)s et brésilien(ne)s a embarqué depuis le 27 Août en Guyane pour la campagne océanographique AMAZOMIX.
La science participative pour mesurer la ressource en eau des Pyrénées
Février puis avril : cet hiver 2021 aura vu de nouvelles vagues de sable du Sahara recouvrir le manteau neigeux dans les Alpes et les Pyrénées.
Fonte des glaciers : une cartographie révèle l’accélération
Où qu’ils soient, tous les glaciers du monde fondent à un rythme record à cause du réchauffement climatique.
L’océan austral se réchauffe en profondeur
Une équipe internationale de scientifiques a dévoilé les analyses faites sur la hausse des températures en Antarctique depuis 25 ans.
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